Kai-Mook et les éléphants de Planckendael
Au-delà du conte de fées
« Les programmes d’élevage en captivité de l’éléphant d’Asie (Elephas maximus) n’ont pas réussi à créer des populations «soutenables». Les taux de natalité sont faibles et les taux de mortalité des éléphanteaux restent trop élevés.
La population des zoos est très dispersée, avec peu d’animaux qui se déplacent pour aller se reproduire ailleurs. De nouvelles techniques peuvent augmenter les taux de natalité, mais les prévisions actuelles suggèrent l’extinction démographique de cette population captive dans les 50 ans à venir. Il serait par ailleurs difficile de justifier que l’on importe des éléphants depuis leurs réserves «durables» en Asie, afin de venir alimenter les programmes d’élevage ex situ où le succès de la reproduction est faible.
Les 2.401 zoos exhibant 12.730 éléphants captifs aujourd’hui dans le monde devrait regrouper tous leurs animaux de toute urgence pour former de vastes unités d’élevage ou accepter que les éléphants d’Asie disparaissent des zoos et que les fonds versés à ces parcs soient plutôt utilisés pour des projets de conservation in situ ».
Paul Rees.
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Le Parc de Planckendael en 2011