Une vidéo récente filmée par des « Morgan Monitors » anonymes à Loro Parque nous montre Morgan complètement hors de l’eau, échouée sur le béton.
Après que le dernier spectacle de la journée se soit terminé, Morgan a brquement glissé sur le « slide-oute, où elle est restée 10 minutes selon les témoins – et peut-être plus.
Bien que nous ne pouvons pas expliquer la raison de son comportement, le fait de voir une orque autrefois sauvage sur le fond rigide d’une zone de spectacle du parc est troublant, pour dire le moins. Certaines personnes ont pris des selfies avec Morgan en arrière-plan. Malheureusement, Morgan était encore hors de l’eau au moment où les vidéastes ont du s’en aller.
A quoi pense l’orque Morgan quand elle flotte sans bouger, les flancs lacérés de cicatrices ? À sa mère, sûrement, et à la mer tout autour d’elle, du temps qu’elle nageait encore libre avec sa famille dans les fjords de Norvège.
Elle croupit désormais dans une geôle sinistre à Tenerife, parmi des orques très perturbées.
Voilà 4 ans que Morgan vit l’enfer dans les bassins de Loro Parque…
Dans une grotesque tentative de se justifier, publiée par Zooquaria Magazine, le Dolfinarium de Harderwijck nous expliquer que Morgan va très bien, que ses blessures sont mineures et normales et que définitivement, la vie des orques en captivité est plus longue et plus heureuse que celle des orques libres (!).
Un pitoyable plaidoyer pour se laver d’un crime impardonnable : celui d’avoir recueilli Morgan, non pour la rendre à ses parents, mais pour l’expédier dans l’enfer de Loro Parque.. Le combat continue mais l’Industrie persiste, elle, à mentir grossièrement.
Une petite fille, perdue, affamée, sexuellement abusée, exhibée dans un cirque comme un monstre de foire…
cette histoire est vraie : c’est celle de Morgan. les orques souffrent comme nous soufrons.
Le rapport accablant d’Ingrid Visser
Morgan est rossée à Loro parque jour après jour, sanglante, blessée, terrifiée sous l’oeil indifférent de ses geôliers.
un résumé d’Elizabeth Batt
De Doris Thomas
Le 1er novembre, une dernière chance sera donnée à l’orque Morgan de retourner dans l’océan et d’y retrouver sa famille. Bien qu’un plan de réhabilitation ait été élaboré et financé, bien que de nombreux scientifiques affirment que Morgan a toutes ses chances de se réadapter à la vie sauvage, on a préféré l’enfermer dans un bassin minuscule à Hardewijck puis l’envoyer à Loro Parque à Ténériffe afin d’y amuser le public et d’enrichir ses propriétaires.
Il s’agit là d’un abus manifeste sur la personne d’un mammifère marin sauvage doté d’une haute intelligence. Le monde nous regarde !
Nous attendons la juste décision qui devrait être prononcée en faveur du respect de la Nature, de la compassion pour cette orque et contre les raisons financières qui ont conduit à cette situation !
1er novembre 2012 Tous au tribunal pour soutenir Morgan !
Depuis la capture de Morgan il y a deux ans, Orca Coalitie (composée de 7 ONG) et ses experts scientifiques de la Free Morgan Foundation se sont battus pour la liberté de la petite orque norvégienne, aujourd’hui bien mal en point dans sa prison aquatique de Loro Parque. La troisième session de la procédure judiciaire est prévue pour le 1er Novembre 2012, à 9 h.
Vous trouverez sur cette page tous les détails de base concernant l’emplacement de la Cour de Justice, les moyens de transport pour y parvenir ainsi que les possibilités d’hébergement.
Nous voulons qu’il vous soit aussi facile et pratique que possible de nous rejoindre – car ce que nous désirons, c’est de présenter à la Justice un front uni, debout à côté de Morgan.
Rendez-vous au Tribunal !
Merci de nous faire savoir si vous serez présents !
Il est important que le Tribunal soit informé du nombre de personnes qui viendront soutenir Morgan. Cela nous permettra également d’organiser des réservations de groupe pour les déplacements et l’hébergement à des prix réduits. Vous pouvez trouver les coordonnées de nos coordinateurs ici :
Sam ( samantha.orca @ gmail.com ) et Ulla (ulla76@gmx.de
« Nous devons rendre Morgan à l’océan ! Nous devons nous bouger le cul et faire campagne pour cette orque aussi fort que nous le pouvons, avec le plus de gens possible, pour convaincre les juges. . . «
Jean-Michel Cousteau
26 septembre 2012, Baie de Monterey
24/7/2012
A la recherche de la famille de Morgan On a retrouvé le mâle P118 !
L’orque mâle P118 avait été vu en compagnie du groupe P en 2005 dans le Tysfjord.
Il a été associé à Morgan en raison de la correspondance importante de 9 des appels bien distincts de Morgan avec ceux du pod P.
A partir de cette identité entre les appels, nous avons supposé que le groupe P était un groupe en rapport avec Morgan, peut-être même son groupe familial dorigine.
(Lire le rapport)
Lenya, de l’association Schwarz-Weisse-Giganten a comparé les images de la page web de l’Arctic Whale Tours et a trouvé une ressemblance avec le mâle P118 vu le 27/06/2012.
A y regarder de plus près, il se serait déjà montré au large de Stø le 22/06/2012 !
Nous collaborons actuellement avec Arctic Whale Tours afin de comparer les images originales et chercher d’autres membres du pod P.
Nous ne pouvons pas conclure que le mâle P118 est un membre du groupe P. Il aurait pu nêtre quun simple visiteur du groupe en 2005.
Nous avons donc besoin de plus dimages, en particulier de celles des femelles du groupe. Nous y travaillons en ce moment!
Si vous avez participé à un voyage de whale-watching dans la région de Stø ou dans les environs de Lofoten ou de Vesteralen et que vous disposez de photos d’orques, merci de nous aider et de nous les envoyer à : info@ocean-sounds.com
La triste saga de Morgan continue. Aujourdhui, Loro Parque, le delphinarium espagnol qui la garde en captivité prétend que la jeune orque est sourde et ne peut donc en aucun cas être remise en liberté !
Rappelons que Morgan a été capturée dans les eaux néerlandaises par le Dolfinarium de Harderwijk le 23 Juin 2010.
Elle nageait seule, égarée. Sa santé nétait pas bonne et elle était très maigre.
Le delphinarium néerlandais la soignée et nourrie, mais lorsque le temps fut venu de la remettre à son pod, dont elle sétait éloignée imprudemment comme le font souvent les jeunes cétacés trop aventureux, le parc dattractions a refusé de la rendre à sa maman, à ses soeurs, à ses frères et à toute sa famille.
De nombreuses associations de défense animale, parmi lesquelles Orka Coalitie, la WDCS et La Dolphin Connection, ont exigé que la petite orque soit relâchée, une opération dautant plus promise au succès que lon savait précisément de quelle tribu dorques norvégiennes Morgan Au terme dun procès
devant les tribunaux, la justice des Pays Bas a tranché : Morgan deviendrait clown de cirque au Loro Parque de Ténériffe !
Aujourdhui, elle preste ses shows quotidiens en échange de poisson mort pour amuser les touristes et somnole le reste du temps dans un coin de son bassin.
Les défenseurs de Morgan sont stupéfaits dentendre Loro Parque affirmer que la petite orque est sourde !
Mais cette manuvre est typique de lIndustrie de la captivité, qui avance ce genre de prétexte pour garder sa belle prise gratuite.
Orka Coalitie, une association néerlandaise fondée uniquement pour venir en aide à Morgan, signale quaucun expert indépendant du marché du cétacé captif na jamais été appelé par le Dolfinarium de Harderwijk ou par le «zoo» de Loro Parque (soutenu par lIUCN !) pour évaluer la santé de Morgan.
Orka Coalitie met donc gravement en doute les déclarations relatives à la surdité de lorque et ny voit quun mensonge destiné à conserver le cétacé captif jusquà sa mort, inévitablement.
La lutte pour Morgan continue ! Orka Coalitie porte à nouveau l’affaire devant les tribunaux néerlandais, sans doute dès ce mois daoût 2012. Lenjeu de cette bataille est de taille, car des décisions importantes pourraient être prises à propos de la libération de Morgan, créant ainsi un précédent juridique susceptible de changer à jamais la vie des cétacés maintenus en captivité.
D’ici là, merci d’écrire à la direction de Loro Parque pour exiger la libération immédiate de la petite Morgan et mettre un maximum de pression sur ces esclavagistes sans scrupules :
I’d like to ask you to listen to your heart, not to your financial interests.
The young orca Morgan has nothing to do in your facililty. She’s not happy and was bitten by other captive orcas. Now, you are telling to the Press she’s deaf, but no independant scientist was allowed to control your declarations.
Morgan must be released, and the sooner is the best.
We know exactly where her pod is living in the Norway sea, we even know the name of her mother. If Morgan would be relased and given back to her family, with the help of Freemorgan skilled specialists, she would live during long happy years, maybe until 90 years. But in your tiny pools, her lifespan will be dramatically shortened and her poor life conditions will be those of a slave.
Aquaria are surely not the right place for any cetaceans, who are highly intelligent and social beings, made for swimming in huge marine spaces. As for Morgan, who was born in the wild among a a lot of free orcas, captivity is still more cruel.
So, please, listen to the voice of Ethics and Compassion, not of Money and let this poor little creature feel the taste of freedom again and forever.
De nouvelles images choquantes nous parviennent du Loro Parque de Tenerife, qui montre l’état de la petite orque sauvage, Morgan, « sauvée » en Mer de Wadden durant l’année 2010.
Celle-ci est manifestement agressée et blessée de façon régulière par ses compagnons de cellule depuis son arrivée. Son corps porte de profondes lacérations provoquées par des les orques dominantes qui s’entassent dans les bassins.
Hors show, Morgan passe l’essentiel de son temps dans une coin peu profond d’un bassin latéral en compagnie d’Adan, un né-captif âgé de deux ans à peine qu’on a du élever au biberon, puisque sa mère Kohana, née elle-même captive de la semence congelée de Tillikum, ne savait comment l’élever.
Morgan se tient donc loin des adultes, ce qui prouve à suffisance qu’elle n’est pas acceptée par eux.
Le petit Adan
La mère d’Adan, engrossée une première fois dès l’âge de sept ans, est actuellement enceinte d’un autre enfant dont elle accouchera cette année.
La venue de ce nouvel individu, s’il survit, amènera le nombre d’orques détenues à Loro Parque à sept, sept orques confinées dans le même espace étroit.
Ce fait est inquiétant car le petit bassin médical où se réfugie Morgan et son compagnon Adan se trouvera alors occupé par la jeune mère et son bébé.
Rappelons qu’en milieu naturel, les orques femelles donnent naissance à leur premier bébé vers l’âge de treize ans, et non sept.
Par ailleurs, une autre question demeure.
On sait que les quatre premiers orques présents à Loro Parque depuis 2006, à savoir Kohana, Keto, Tekoa, Skyla, « appartiennent » à Sea World.
Mais à qui « appartiennent » Adan et Morgan ?
La question refera surface le jour où Loro Parque ou Sea World décideront de les déplacer vers un autre parc d’attractions.
Souvenons-nous que le Secrétaire d’État Henk Bleker, le juge en appel M. de Rooij et les autres membres de la Justice Néerlandaise estimaient que le fait d’envoyer Morgan dans une fosse en béton remplie d’eau chlorée, au beau milieu d’un groupe déjà hautement instable et perturbé d’orques captives, constituait sans conteste la meilleure option pour Morgan, bien plus que de lui donner une chance de retrouver la liberté et sa propre famille en milieu naturel.
Honte sur eux !
Noël 2011 A peine arrivée à Loro Parque, Morgan fait déjà l’objet d’un bizutage en règle de la part des autres orques.
C’est toujours une épreuve extrêmement pénible pour un nouveau captif que de s’intégrer au sein d’un groupe d’anciens, dont la place est restreinte et qui se battent pour avoir leur poissons.
On notera également, au vu de cette vidéo allemande, les intéressantes activités des orques en dehors des spectacles :
elles tournent en rond, sans fin… Ce n’est pas ainsi que vivent les orques libres.
L’analyse des sifflements stéréotypés de Morgan révèle que 92% des appels lancés par Morgan correspondent au dialecte des orques norvégiennes spécialisées dans la chasse aux harengs.
77.7% de ces sons (soit 7/9) sont assimilables au groupe NP.
Face à ces premiers résultats extrêmement dérangeants pour le projet d’un transfert à Loro Parque, le Harderwijck Dolfinarium a pris la douteuse décision d’interrompre l’analyse des sons produits par la petite captive et d’affirmer que ceux-ci n’étaient pas suffisamment probants que pour mettre en place un plan de réintroduction en mer libre.
L’association néerlandaise Orka Coalitie a donc décidé de casser cette décision par la voie d’un procès public, en cours aujourd’hui.
Car plus le temps passe, plus Morgan est acculturée et plus son retour en mer sera rendu plus difficile.
Elle perdra bientôt l’usage de la parole – inutile en bassin, où l’on ne fait qu’obéir et se taire – comme le langage de sa tribu.
La conclusion est claire : l’Industrie du cétacé clown n’entend pas perdre une si belle occasion de se faire de l’argent en la vendant à Loro Parque !
Là-bas, à Ténériffe, elle vivra seule dans un box en dehors des spectacles. Sa vie ne sera qu’un enfer de travail tarifée, d’ennui et de désespoir, et elle mourra, comme toutes les orques captives, bien avant l’âge, droguée de médicaments psychotropes pour la garder docile…
Le tribunal aux ordres du Grand Capital et de Sea World a pris sa décision cruelle et inique : Morgan ira crever à petit feu au cirque marin de Loro Parque !
Elle s’y trouve peut-être déjà à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Tous les arguments scientifiques en faveur de sa réintroduction en mer ont été balayés au seul bénéfice du profit immédiat.
Continuons le combat. Morgan n’est pas encore morte: il faut la tirer de là !
9 novembre 2011
Les experts favorables à une réhabilitation !
Au premier jour du procès (lundi 7/11), il est apparu que 4 des 7 experts qui se sont penchés sur le cas de Morgan se montrent favorables à son retour en mer de Norvège, plutôt qu’à son enfermement dans l’un des delphinariums les plus pourris du monde : Loro Parque !
Par ailleurs, l’on a appris aussi que plusieurs dauphins du Hardewijck Dolfinarium souffraient d’herpès, une maladie transmissible à l’homme, ce que les experts savaient mais qu’ils ont oublié de mentionner dans leur rapport. La suite des aventures de Morgan dans deux semaines devant le tribunal, la décision ayant été postposée du fait de la complexité du dossier.
Ce qui pose notamment problème aux yeux de juges, c’est que l’analyse des sifflements stéréotypés de Morgan, menée dès sa récupération en mer de Wadden où elle nageait solitaire et affaiblie, ont clairement révélée que 92% des appels qu’elle lançait correspondaient à certains dialectes d’orques norvégiennes spécialisées dans la chasse aux harengs.
77.7% de ces sons (soit 7/9) étaient assimilables au groupe NP, ou à l’un des clans proches de cette tribu (Pod NPA).
Les enregistrements d’orques libres utilisés pour obtenir ces comparaisons, fournis notamment par Heike Vester et Floriane Plard (catalogues de sons 2005 à 2009) ne dépassaient pourtant pas la durée d’une heure. Par ailleurs, la marge d’erreur est d’autant moins significative que Morgan est encore une enfant. Ses vocalisations sont celles d’une orque prisonnière en bas âge, qui n’a pas encore acquis pleinement le langage de son clan et dont les émissions sonores sont mélangées à des cris de détresse incohérents.
Malgré cela, la correspondance est frappante.
Idéalement, les appels de Morgan auraient du être diffusés auprès des tribus libres concernées afin d’observer leur réaction, ce qui ne fut pas fait par le Dolfinarium, malgré ses promesses initiales de mettre tout en oeuvre pour
assurer le retour en mer de la petite orque.
Pire encore, face à ces premiers résultats « linguistiques » extrêmement dérangeants pour le projet d’un transfert à Loro Parque (lequel semble, selon certaines sources, avoir été conclu dès le début sous la pression de Sea World, très lié au parc marin hollandais), le Hardewijck Dolfinarium a pris la décision d’interrompre brusquement l’analyse des sons produits par Morgan et d’affirmer haut et fort que ceux-ci n’étaient pas suffisamment probants que pour mettre en place un plan de réintroduction en mer libre.
Tel est finalement l’enjeu central du procès qui oppose Orka Coalitie, soutenue par la Free Morgan Foudation à la direction de Harderwijck, soutenue par le Dr Henk Bleker (Secrétaire d’Etat), le Ministère de l’Agriculture and du Commerce extérieur ainsi que par le Dr F. van Dijken.
A cet égard, il est important de préciser les rôles de chacun :
– Orka Coalitie, en tant qu’ONG néerlandaise, tente de casser par voie légale la décision gouvernementale d’expédier Morgan à Loro Parque. Les dons que vous lui adressez sont donc utilisés pour payer les frais de justice.
Cette fondation a mis au point un plan extrêmement détaillé de réhabilitation pour Morgan
La remise à niveau de la jeune orque (apparemment âgée de 3 à 4 ans, selon de récentes estimations, et donc parfaitement adaptée à une réintroduction rapide) aurait lieu au « DeltaPark Neeltje Jans », une réserve naturelle maritime située entre le port d’Anvers et celui de Rotterdam, où tout trafic maritime est interdit et que divise en plusieurs bassins des digues de sable.
Ces espaces seraient clos dans un premier temps, permettant néanmoins à l’orque de ré-apprendre à se nourrir par elle-même.
Plus tard, des sorties eau large menées sous la guidance d’humains proches de Morgan serait organisée, afin qu’elle puisse rencontrer d’autres orques, le cas échéant, ou à tout le moins, se réadapter pleinement à l’océan. La dernière phase du processus impliquerait son retour spontané vers ses eaux d’origine.
Selon Pierre Robert de Latour, responsable de l’association « Orques sans frontières« , « Le groupe NP a pour leaders les matriarches Anna et Heiko, habituées à fréquenter des humains.
Pierre ajoute : « On sait que les orques patrouillent le long de la cote norvégienne pour contrôler la positions des bancs de harengs. Le réchauffement climatique de ces mers fait varier les circuits migratoires des ces proies d’une année à l’autre, obligeant les pêcheurs mais aussi les orques à des repérages incessants. Par ailleurs, on pêche aussi beaucoup de maquereaux du coté de l’Écosse et des Shetlands. Ce stock de poissons doit être régulièrement visité par les orques qui chassent indifféremment toutes les espèces de poissons en bancs de la zone. On peut donc imaginer que des pods on fait cap vers le sud pour inspecter la zone, perdant Morgan au passage. Il a du cependant se passer quelque chose de pas naturel pour que cette enfant s’éloigne de sa famille. Chacun sait que les orques sont très attachés à chaque individu et nagent à la vitesse du plus lent sans jamais l’abandonner. Anna a-t-elle été tuée ? Le groupe NP a-t-il été perturbé de façon quelconque ? Le mystère reste entier… »
Quoiqu’il en soit, le jugement définitif sera rendu le 21 novembre prochain et nous saurons alors si Morgan retrouvera les siens… ou se retrouvera au bagne !
Amsterdam, le 19 octobre 2011 Orka Coalitie de retour au tribunal
L’association Orka Coalitie a fait appel face à la décision d’Henk Bleker (Ministre des Affaires économiques, de l’Agriculture et de l’Innovation des Pays-Bas) d’exporter l’orque Morgan vers Tenerife (îles Canaries). Le delphinarium d’Harderwijk a également été informé par l’avocat de l’association que leur décision de transporter Morgan dans la semaine est illégale.
De plus, Loro Parque n’est en aucun cas une amélioration pour Morgan en termes d’espace et de compagnie.
La semaine dernière, le ministre Henk Bleker annonçait que Morgan serait transférée à Tenerife. « Les règles internationales de soin d’un animal protégé n’ont pas été suivies.
A partir du moment où la réhabilitation est prouvée impossible, les autres options peuvent être considérées. Cependant, le Dolfinarium Harderwijk n’a toujours pas pu mentionner une action prouvant leur intention de préparer Morgan à la vie en liberté », d’après Marcq Wijngaarden, avocat de l’association Orka Coalitie.
Suite à la décision du tribunal en août, le delphinarium doit attendre au moins 5 semaines avant d’être autorisé à exporter Morgan.
Le delphinarium semble n’avoir aucune intention de respecter ce jugement, et souhaite à nouveau bafouer les règles.
L’association Orka Coalitie est toujours prête à rencontrer le delphinarium. « Nous avons l’appui d’un groupe international de scientifiques qui ont l’expérience de réhabilitations de ces animaux protégés à l’état sauvage. Leurs connaissances et expérience est disponible pour Morgan, ainsi que pour les futurs orques échoués.
Depuis un an maintenant, un plan détaillé pour le retour de Morgan vers sa famille est prêt et disponible », dit Barbara
van Genne, biologiste marine et porte-parole de l’association Orka Coalitie. L’association continue ses efforts pour l’implémentation de ce plan étape par étape afin que Morgan retourne vers sa famille sous la surveillance et le guidage d’experts, suivant les règles internationales.
Le parc où le «Dolfinarium Harderwijk» souhaite exporter l’orque, «Loro Parque», représente une détérioration de la situation pour Morgan.
D’après une étude récente, Morgan sera placée dans un bassin encore plus petit que celui où elle se trouve en ce moment.
Et les orques de Loro Parque étant séparés les uns des autres, Morgan ne sera pas moins solitaire.
L’un des arguments du ministre Henk Bleker pour le déplacement de l’orque à Tenerife était qu’elle ne se trouve actuellement pas avec d’autres orques.
Un autre argument était que même s’il y a 77,7% de chances que sa famille ait été trouvée, ce n’est pas une correspondance de 100% et Morgan ne peut donc pas être relâchée.
Cependant, trouver une correspondance de 100% est impossible, la seul orque qui correspondrait serait Morgan elle-même. Si elle est transférée à Loro Parque, l’orque ne retrouvera jamais sa famille et sera la propriété de Seaworld Parks & Entertainment, une chaîne de parcs de mammifères marins des Etats-Unis.
Pour plus d’informations, merci de contacter info@orkacoalitie.nl (anglais)
Le procès du 7/11/2011 sera déterminant !
Aidez orca Coalitie, qui dispose d’un plan de réhabilitation prêt à servir !
Partira-t-elle à Loro Parques pour une brève existence de captivité létale ?
La rendra-t-on à ses parents ?
A vous de décider ! Merci d’écrire au responsable de la
ferme à dauphins en batterie de Harderwijk (Pays-Bas) via les sites :
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